Nous étions merveilleuses, de Laure Rollier

Paru le 25/09/2019 aux éditions Mazarine/Fayard

Mon avis :

Une ode à nos amies d'enfance, nos mouettes à nous.

Noémie, les jumelles Lisa & Marion, et Stéphanie grandissent ensemble en Bretagne. A 18 ans, elles font un inoubliable voyage qu'elles se promettent de refaire ensemble !
14 ans plus tard, Noémie, devenue parisienne, lache Antoine, avec qui c'est un peu tendu ces temps-ci et part retrouver ses copines restées à Brest. Installées dans leur van, elles se dirigent vers La Rochelle et les dunes du Pilat.
Elles ont chacune dans leurs bagages des doutes & inquiétudes sur leurs vies actuelles et des tensions apparaissent. Des reproches, des non-dits finissent par être lachés.... Et si ce voyage leur permettait de retrouver une certaine sérénité ?

De prime abord, ce roman peut sembler léger. Mais petit à petit, on en apprend un peu plus sur le passé de chacune, l'histoire de leur amitié. Le dénouement final est bouleversant (j'avoue, j'ai pleuré !).
Cette bande de copines est merveilleuse ! 
Et je pense à ma bande de copines, tout aussi merveilleuse !
Un très joli roman emprûnt de tendresse & de délicatesse, Laure Rollier nous offre un bien belle histoire autour de ces amitiés qui traversent le temps.

Merci à NetGalley & aux éditions Mazarine/Fayard

 
4è de couverture :

« Je donnerais n’importe quoi pour pouvoir attraper par le col la gamine que j’étais et lui expliquer certaines choses.
Je lui dirais de prendre sa sœur dans ses bras plus souvent.
Je lui dirais de ne pas quitter l’homme qu’elle aime pour celui qui lui plaît.
Je lui dirais surtout de ne jamais porter de vert. Jamais. Je ne supporte plus cette couleur depuis que je suis ici.
Et vous, vous lui diriez quoi ? »
L’été de leur dix-huit ans, Noémie, Lisa, Marion et Stéphanie ont vécu un voyage inoubliable qui a scellé leur amitié pour toujours. Quatorze ans plus tard, les quatre amies décident de mettre leur vie d’adulte, le quotidien et toutes ses contrariétés de côté pour revivre le périple de leur adolescence. Ce qu’elles ignorent, c’est qu‘il sera le plus important de toute leur existence.

Comments

[philippedester]

Plus pour les filles, non?